Étiquette : cuisine
L’improbable archipel des San Blas
Au Panama, les croisiéristes sont aimantés par les San Blas, territoire des indiens Kunas. Quelque 340 îlots aux cocoteraies florissantes, protégées par des forêts de palétuviers au sud et de longues barrières de corail au nord. Escale après escale, en deux mois, nous découvrons la vie sous toutes ses formes.
Fin de la saison cyclonique : nouveau départ
Après 6 mois passés dans les bras du rio Dulce, au Guatemala, nous voilà motivés pour reprendre la mer. Direction le Honduras !
Chaud cacao ! De la fève à la truffe
Quatre mois que nous n’avons pas croqué dans un bon morceau de chocolat ! Alors, quand Jessica arrive sur Balanec avec des fèves de cacao, l’atelier chocolat démarre aussitôt.
Qu’est-ce-qu’on mange ?
Changement de vie, changement de régime. Chaque pays traversé modifie nos habitudes culinaires, soit qu’on manque de denrées (fromage, salaisons, yaourt, pain…), soit qu’on en découvre de nouvelles (banane plantain, patate douce, corossol…). Bienvenue dans notre cambuse !
Ca pêche ou quoi ?

Sarde à queue jaune, comestible !
Après nous être régalés de bonites et de daurades coryphènes, le produit de notre pêche est, depuis notre arrivée en Martinique, problématique. En cause, la ciguaterra, une grave maladie transmise par les poissons qui se sont repus de corail mort.
Vous saurez tout sur le sushi !
Rassemblées au sein d’une flottille, celle de Barbados 50, bon nombre de personnes partagent leurs connaissances et leurs savoir-faire. Aussi, Kelly, Coréenne au grand coeur, nous a-t-elle invités à suivre un atelier sushi à la marina de Santa Cruz, sur l’île de Ténérife.
Scènes de vie
Quelques moments choisis de notre quotidien : trottinettes, atelier couture, cuisine…
Fabriquer ses yaourts
Pas évident de trouver des produits laitiers dans certains pays où l’élevage bovin est peu développé. Adieu donc fromages, beurre, crème fraiche, faisselle… ? Que nenni ! En trichant un tantinet, on peut au moins s’offrir de bons yaourts.
Pour remplacer le lait entier, on ajoute du lait en poudre (si possible non écrémé). Pour remplacer le yaourt ferme que l’on connait en France, on ajoute des ferments lactiques. L’intérêt de ces deux ingrédients, c’est qu’on les trouve au rayon sec et donc qu’ils se conservent relativement bien.
Chauffer le lait 40 °C et le mélanger au lait en poudre et au ferment.
Le truc : mettre ce mélange dans une thermos. Une fois pris, verser le yaourt dans un récipient à garder au frais. On se sert à la cuillère afin d’éviter le gaspillage d’eau au moment du lavage des pots individuels.
Reste à essayer sur un bateau qui tangue, qui gite sachant que la yaourtière apprécie la stabilité…