L’escapade sauvage sur Barbuda nous a fait oublier la civilisation. En posant le pied sur Saint-Barthélemy puis sur Saint-Martin, nous avons vite retrouvé la mémoire !
Saint-Bart’, le Saint-Trop’ des Antilles, cultive le luxe sur terre comme sur mer. Dans les ruelles de Gustavia, les boutiques chics sont à touche-touche mais les étiquettes dissuadent de toucher quoi que ce soit. Dans le port, c’est aussi la course au plus cher avec des yachts impressionnants qui comptent plus d’équipiers que de passagers. Trop de monde, pas assez d’espace…, nous pointons l’étrave vers le voisin, Saint-Martin.
Double identité

Marigot, côté français.
Plus petite île divisée en deux Etats (France et Pays-Bas), Saint-Martin / Sint Maarten possède une frontière naturelle assez floue (le milieu d’un vaste étang) mais une frontière culturelle inratable. Du côté néerlandais, hôtels, restaurants, casinos, discothèques servent un tourisme de masse à l’américaine. La baie de Simpson est, de ce fait, dénuée de tout charme. Voir et entendre surtout les vols long-courrier au dessus de nos têtes, tandis que dodeline tranquillement, nous motive à décamper assez vite.

Les buildings balnéaires du côté néerlandais.

L’aéroport « pieds dans l’eau » à Sint Maarten.
L’aéroport international Princess Juliana fait, en effet, atterrir et décoller ses avions quasiment sur la plage ! C’est d’ailleurs l’attraction de la plage de Maho, située en bout de piste ; les avions décoiffent les clients du bar attenant. Nous fuyons cette Hollande tropicale surfréquentée et remontons plus au nord, en longeant la côte ouest, vers Marigot, la « capitale » de la partie française. Le trait de côté est davantage préservé avec moins de bâtiments ; on rapporte que, longtemps, seuls les immeubles ne dépassant pas la hauteur d’un palmier (soit maximum 3 étages) étaient autorisés.
La caverne de Tabarly Baba
A Marigot, nous saluons plusieurs bateaux-copains et en avant pour le shopping. Comme nombre de navigateurs, nous attendions l’escale saint-martinoise pour tous les achats nautiques. Le nombre d’embarcations, au sein des marinas comme aux mouillages, expliquent la profusion de shipchandlers. Hublots, bouts, guide nautique sur l’Amérique centrale, petit matériel… et un nouveau moteur de 15 CV pour l’annexe, nous trouvons tout à des prix intéressants (détaxe oblige) dans ces supermarchés de la mer.
coucou la petite famille merci encore de nous faire profiter de belles photos un joli récit
ici tout va bien jean yves est tout le wk sur l’eau à morgat interligue de 420 si vous voulez regarder ses photos rdbphotographie
nos 2 gars se portent bien
gaelle recois tu mes mails sur gargamelle?
profitez bien de gros bisous à vous 4
laurence et jean yves
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Un petit bonjour de la famille HARDOUIN qui aime bien suivre votre voyage. Merci pour tous ces commentaires et ces belles photos qui nous font rêver.
Continuez à bien profiter de ce voyage et de toutes ces découvertes…
Bien amicalement.
Martine et Jean Michel
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